Re: Questionnements généraux sur les jeux de rôle papier et sur Internet
Publié : dim. 13 oct. 2024 22:49
Alors pour une fois je vais dire du bien de mon boulot : nous avons un truc fabuleux qui s'appelle la liberté pédagogique qui nous permet de faire à peu près ce que l'on veut pourvu qu'on mette des connaissances dedans.
L'an dernier nous avons mené des parties de jeux de rôle en Sixième sous le prétexte de faire des maths : 20 élèves répartis en 5 groupes qui ont joué des scénarios de notre crû. Au programme, numération babylonienne pour rentrer dans la tombe d'un grand magicien, courses de perpendiculaires pour attraper une souris, quick time events de tables de multiplication pour ne pas se faire absorber sa lumière par des monstres intangibles, etc. En outre, pour résoudre une action ou attaquer un adversaire, ils avaient le choix de résoudre une énigme de niveau 1 à 3 qui, s'ils arrivaient à la résoudre, avaient un effet plus ou moins efficace.
Mais c'est un choix pédagogique personnel. Et je pense que ça doit le rester. Je reste persuadée que mes collègues peuvent embarquer ainsi leurs élèves dans d'autres projets tout aussi fantastiques pour peu qu'ils aient le soutien de leur direction, même si les dits projets non rien à voir avec le jeu de rôle. Par exemple, nos collègues de SVT et de Sciences Physiques-Chimie permettent à des filles de postuler pour des stages de Troisième assez extraordinaires, pendant lesquels nos élèves se transforment en apprenties laborantines qui aident des scientifiques dans leurs observations...
L'an dernier nous avons mené des parties de jeux de rôle en Sixième sous le prétexte de faire des maths : 20 élèves répartis en 5 groupes qui ont joué des scénarios de notre crû. Au programme, numération babylonienne pour rentrer dans la tombe d'un grand magicien, courses de perpendiculaires pour attraper une souris, quick time events de tables de multiplication pour ne pas se faire absorber sa lumière par des monstres intangibles, etc. En outre, pour résoudre une action ou attaquer un adversaire, ils avaient le choix de résoudre une énigme de niveau 1 à 3 qui, s'ils arrivaient à la résoudre, avaient un effet plus ou moins efficace.
Mais c'est un choix pédagogique personnel. Et je pense que ça doit le rester. Je reste persuadée que mes collègues peuvent embarquer ainsi leurs élèves dans d'autres projets tout aussi fantastiques pour peu qu'ils aient le soutien de leur direction, même si les dits projets non rien à voir avec le jeu de rôle. Par exemple, nos collègues de SVT et de Sciences Physiques-Chimie permettent à des filles de postuler pour des stages de Troisième assez extraordinaires, pendant lesquels nos élèves se transforment en apprenties laborantines qui aident des scientifiques dans leurs observations...